Quoi, quoi, quoi… on voudrait que les bouledogues nous gouverne qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
Magazines, journaux, radios: on ne voit plus qu’eux, on n’entend plus qu’eux, on ne parle plus que d’eux. Tout n’est plus qu’aboiements et grognements, jappements et rugissements. Mais où est donc passé notre légendaire raffinement félin pour l’autre ?
Soi-disant pour s’en effrayer, pour se forcer à réagir. Mais je les connais, moi, les zumains et leur syndrome de grenouille ébouillantée (SGÉ). Ce n’est qu’une fois le cul dans le trou qu’ils réagissent. Et encore. Seulement si ça peut se vendre.
En attendant, les pittbulls montrent les crocs et on sent bien que les chiens sont pressés au festin.
Ô, pauvres matous que nous sommes ! Pauvres matoutes surtout, que ces horribles bêtes ne violeront même pas, tant ils ne sont appâtés que par le pouvoir et le gain.
Et elle est là, la grande différence. Moi, je ne suis qu’appâtée… pour chats !